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« Previous Page Table of Contents Next Page »- mai / juin 2013 61
Présente à Bâle pour la première fois en 1996, elle est aussi membre de Joaillerie de France qui organise régulièrement la promotion du savoir-faire français à l’étranger, mais avoue manquer de temps pour sa propre promotion. Elle doit être là pour superviser une fabrica-
Plusieurs dizaines de carats pour chacune, dont la couleur est introu-vable… autant dire des pièces de collection. Les montures sont rigou-reuses, volumineuses, elles ont un sacré caractère, mais ne portent jamais ombrage à la pierre.
Les clientes de ces joyaux
Brigitte Ermel ne donne aucun nom mais avoue avoir dans son escar-celle quelques princesses orientales et riches Asiatiques qui viennent à Paris dans son bureau pour un petit show privé, car elle n’a aucun point de vente. On la retrouve dans des vols longs courriers, à destination des salons prestigieux (USA, Hong-Kong, Bahreïn) ou à Paris (Reflets).
tion qu’elle assure aussi pour de grands joailliers. « Ces projets sont mes bébés, même si ce ne sont pas mes bijoux », dit-elle d’un ton pas-sionné. Il faut bien comprendre la personnalité de chacune de ces Maisons, car l’erreur n’est pas admise. Un moulage de collier arrive sur le bureau, tout hérissé de griffes vides prêtes à enserrer des centaines de lumineuses gouttes d’eau. Brigitte Ermel prendra son temps pour les choisir, une pièce comme celle-ci prend 6 à 9 mois de travail et envi-ron 1 000 heures. Seule trône déjà la pierre de centre, une rare tourma-line de Namibie, qui attend patiem-ment l’habillage qui va la porter aux nues. ■ I.H.
Bague Tamara - 5 rangs, or blanc, diamants - © B. Ermel
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