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Un itinéra démarrer

Nous sommes dans les années 95, Cyril Becu, son diplôme de gemmo-logue en poche, commence à tra-vailler dans les pierres précieuses et la Perle de Tahiti. Puis il part en

que du s le com-merce de l’or et surtout du dia-mant. De retour en France, il débute une activité de rachat de bijoux anciens avec des pierres précieuses qui génère un stock d’or pour lequel il a fallu trouver des débouchés.

Une fois leur procédures de reventes rodées Cyril et Stéphane BECU ont alors eut l’idée de créer :

or-a-vendre.com.

Une suite logique mais non prévue alliant tradition et modernité

Dès le démarrage de la société dans le rachat de métaux et de pierres précieuses, Cyril Becu et son frère vont inscrire OAV dans un schéma de fonctionnement moderne et diffé-rent des autres sociétés du même type, dont l’efficacité tient à trois facteurs. Le premier est leur connais-sance traditionnelle du métier des métaux précieux, le second tient à leur intérêt pour les nouvelles techno-logies, l’Internet qui se développe depuis les années 2000 et qu’ils vont appliquer à leur métier. Le troisième est d’avoir réellement pris en compte dans leur projet, les besoins et diffi-cultés exprimés par les clients qu’ils rencontraient, lors de leur déplace-ment pour récupérer les bijoux chez les professionnels. Cet ensemble a généré un système de fonctionne-ment particulièrement efficace puisqu’il a su allier l’expérience d’un métier, des procédés très modernes et répondre au besoin de transpa-rence du client.

ORAVENDRE.COM (OAV)

Une histoire avec un final en or !

Quand des méthodes ultramodernes se mettent au service d’une activité traditionnelle comme le rachat d’or et de pierres précieuses pour la satisfaction réelle du client, vous obtenez OAV. Une société dont l’histoire naturelle et extraordinaire montre bien l’intérêt des nouvelles technologies pour des métiers aussi traditionnels que ceux de la bijouterie-joaillerie.

62 - mai / juin 2012