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Dans les métiers à risques, le rôle attendu de l’assurance dépasse largement la couverture des risques matériels. C’est si vrai que lorsque ce « rôle attendu » est rempli, les bénéficiaires ne considèrent plus leur assureur de la même façon. Témoignage d’Albert Benhamon, directeur de Thile.

Albert Benhamon est depuis 1994, fabricant en bijouterie-joaillerie rue du Temple à Paris. Son atelier est en étage et ses besoins en matière d’assurance diffèrent peu de ceux d’un détaillant. Il devra disposer de chambres fortes, de coffres, d’un sas d’entrée, d’un système de télésurveillance,…

“Les principales différences avec une boutique de vente sont qu’il n’a pas de grande vitrine d’exposition sur rue à protéger contre le vol et qu’il dispose dans son contrat d’une « clause de casse » spécifique.”

Le travail des pierres précieuses entrant pour une grande part dans ses tâches quotidiennes, il était logique d’adjoindre une telle clause dans son contrat. Albert Benhamon est resté vingt-cinq ans chez le même assureur, durant lesquels il n’a eu que des petits sinistres. Il n’a jamais eu à se plaindre de lui et donc pas de raison de changer d’assurance. Et pourtant, il l’a fait. Certes avec du mal, avouera-t-il, « parce qu’on n’aime pas changer », mais il a franchi le pas.

L’Officiel Horlogerie & Bijouterie : Quel(s) facteur(s) a déterminé votre changement ?

Albert Benhamon : Gilles Caudrelier (Responsable du Département HBJO de Verspieren) est très professionnel et connaît très bien notre secteur, il fait bien son travail de courtier et à notre profit. Quand j’ai eu un petit sinistre, il a été très réactif, humain dans ce moment difficile, et les règlements financiers très rapides. C’est dans ces moments-là que l’on voit la qualité d’une assurance. Verspieren assurance bijouterie.

L’OHB : Ce que vous décrivez paraît être le rôle normal d’une assurance, rien de plus.

A. B. : Oui mais le plus de Gilles, est dans ses rapports avec les clients. Vous n’êtes pas un dossier qui un jour lui posera un problème. Il défend nos intérêts, et nous fait vraiment bénéficier du meilleur de sa compétence. On a vraiment le sentiment qu’il est de notre côté, et ça, c’est rare ; il est plus un partenaire.

L’OHB : Rassurer le client est-il aussi important qu’assurer correctement les valeurs ?

A. B. : Même si les biens assurés sont matériels, le rôle essentiel du courtier est de convaincre son client qu’il travaille pour lui. L’assuré aura ainsi un sujet de préoccupation en moins. Si le sinistre intervient, il sait qu’il pourra compter sur son courtier et s’en remettre à lui pour protéger ses intérêts sans devoir surveiller qu’il obtienne bien l’application des garanties pour lesquelles il a cotisé. En conclusion, il semble que le rapport de confiance est aussi important que le prix de l’assurance. Verspieren assurance bijouterie.

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