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France
La prévision officielle de déficit public pour 2017 est fixée à 2,7 % du PIB (après 3,3 % en 2016), avec des prévisions de croissance de 1,5 % en 2016 (révisée à la baisse à 1,3 % par l’INSEE) et en 2017. L’effort du gouvernement continuera à porter sur la réduction des déficits, tout en continuant à soutenir la croissance et l’emploi, renforcer la compétitivité et accroître certaines dépenses prioritaires, emploi, éducation, sécurité.

Allemagne
L’Allemagne affiche toujours une bonne santé avec un taux de chômage inférieur à 5 %, son taux le plus bas depuis 24 ans. Le problème persiste cependant en ex-Allemagne de l’Est où celui-ci reste élevé, à 9 %. Autre problème de taille à régler, l’intégration du très grand nombre de réfugiés nouvellement arrivés et la capacité à maintenir la cohésion sociale. La balance commerciale, encore une fois excédentaire, devrait fournir les moyens de la politique d’immigration ambitieuse du pays.

Grande-Bretagne
Malgré le Brexit, les indicateurs conjoncturels britanniques affichent plutôt de bons signes de résistance de l’économie britannique. Les exportations ont été favorisées par la chute de la Livre mais des signes de ralentissement de l’activité se font sentir, obligeant la banque d’Angleterre à un assouplissement monétaire pour relancer l’investissement et la croissance.

Espagne
Le gouvernement espagnol s’inquiète des signes de décélération de son économie, comme la baisse de la demande de crédit de la part des petites et moyennes entreprises ces derniers mois. La crise politique a provoqué la chute des chantiers de construction, et par ailleurs, le pays doit encore prendre des mesures pour réduire son déficit public, à 4,6 % du PIB cette année et 3,1 % l’an prochain. Ce qui pourrait affecter la faible reprise économique.

Italie
L’Italie souffre d’une croissance chroniquement faible. En cinq ans, la richesse italienne a reculé de 4,1 % tandis qu’elle a progressé de 2,5 % dans la zone euro. La consommation des ménages qui, depuis un an, était un des rares moteurs de la croissance transalpine n’a progressé que de 0,1 % et le « Job Acts » n’a pas réellement permis une décrue notable du chômage, qui reste élevé, à 11,4 %. La dette de l’État représente 133 % du PIB.

Etats-Unis
Au milieu d’une croissance mondiale sans vigueur, inférieure à 3 % cette année, les États-Unis affichent des chiffres dynamiques, un taux de chômage inférieur à 5 % et un niveau de salaires en hausse. L’inflation se maintient à un niveau correct, signe de bonne santé. En revanche, les difficultés des partenaires asiatiques et européens des États-Unis pourraient bien venir gripper cette enviable croissance.

Japon
Les moteurs de croissance sont au point mort, la consommation des ménages en chute et la production industrielle atone, sur fond de déflation persistante. Les «abenomics» lancés il y a 3 ans n’ont pas donné les effets escomptés. Le gouvernement annonce de nouvelles largesses budgétaires après un massif plan de relance de 28 000 milliards de yens (245 milliards d’euros) cet été. Il envisage de modifier le Code du travail pour attirer la main-d’oeuvre féminine, ce qui laisse les experts perplexes.

Chine
Au deuxième trimestre 2016, la croissance chinoise a été, comme au premier trimestre, de 6,7 %. La croissance chinoise à deux vitesses, semble difficile à rééquilibrer, d’un côté la croissance interne, de l’autre les exportations. Les mesures vigoureuses (certificat de résidence, propriété de la terre, Sécurité sociale, santé) pour réduire l’épargne de précaution des ménages et favoriser la consommation, n’ont pas été prises.

Sources : Le Figaro, Les Échos, Le Monde, Le Point, Challenges, La Tribune, AFP, les Échos, INSEE, COE-Rexecode, Études Économiques du Crédit Agricole, OCDE

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France
La croissance économique devrait atteindre 1.4 % cette année et 1.5 % en 2017 grâce à la baisse des prix de l’énergie, aux allégements des cotisations sociales et des impôts sur les entreprises, et à la faiblesse persistante des taux d’intérêt. Réductions de cotisations sociales et nouvelles aides à l’embauche pourraient améliorer les chiffres de l’emploi. L’inflation restera peu élevée, les capacités de production n’étant pas utilisées à taux plein.

Allemagne
L’économie allemande reste solide, ses exportations sont dynamiques et le chômage est peu élevé malgré les turbulences que traverse l’économie mondiale. L’Allemagne doit faire face au problème de l’intégration des réfugiés. Si cela lui permet de contrecarrer son vieillissement démographique, elle doit éduquer et former cette jeune population venue dynamiser le marché du travail.

Grande-Bretagne

La croissance devrait s’établir à 1,75 % en 2016, soit un net recul. La croissance pâtit du Brexit, pour le moment du moins. Le taux de chômage a cependant reculé à 5 % environ mais le déficit courant a atteint 7 % du PIB, un niveau important qui renforce l’impression d’instabilité. D’ici à 2030, le PIB du Royaume-Uni pourrait être amputé de plus de 5 % à cause du Brexit, selon l’OCDE.

Espagne
La situation économique s’est un peu redressée, mais le taux de chômage se situe toujours à plus de 22 %. La crise espagnole a été particulièrement destructrice d’emplois (3,77 millions détruits entre 2007 et 2014) donc les « bons » chiffres annoncés ne sont qu’un retour progressif à la normale. Le prix du pétrole bas, le coût du travail modéré, un budget public généreux expliquent en partie cette petite reprise.

Italie
Une croissance du PIB de 1 % est attendue en 2016, et de 1,4 % en 2017, tirée par la consommation interne. Le taux de chômage s’est stabilisé et la baisse des impôts et charges devrait encourager les dépenses des ménages et créer des emplois. Le gouvernement a réaffirmé son engagement à ne pas alourdir la fiscalité et à réformer les structures.

Etats-Unis
La croissance américaine reprend des couleurs mais le secteur des services, toujours florissant, montre des signes de ralentissement temporaires. La création d’emplois et la demande intérieure marquent le pas et les exportations pâtissent d’un dollar fort. Les prévisions de croissance 2016 tablent sur 2 % selon la FED et 2,2 % selon le FMI, après 2,4 % l’année dernière.

Japon

La morosité des économies asiatiques a largement pénalisé l’économie japonaise qui n’avait pas besoin de ça. La croissance devrait s’établir à environ 0,7 % en 2016 et 0,4 % en 2017. La nouvelle hausse de TVA, passant de 8 à 10 % et annoncée en 2017 a été reportée à 2019 pour éviter une nouvelle récession. La dette publique japonaise atteindra 234 % du PIB en 2017.

Chine
La croissance chinoise reste inférieure à 7 %, chiffre le plus bas depuis la crise de 2009. Cependant, les indicateurs de production industrielle et de vente au détail se sont améliorés (ces dernières ont progressé de 10 % sur un an à fin mai) mais l’économie reste fragile. L’investissement privé ne reprend pas, facteur qui reste préoccupant. Sources : Le Figaro, Les Echos, Le Monde, Le Point, Challenges, La Tribune, AFP, les Echos, INSEE, COE-Rexecode, Etudes Economiques du Crédit Agricole, l’OCDE.

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France
Le déficit du commerce extérieur de la France se réduit essentiellement grâce à la faiblesse de l’euro et à la baisse du coût du pétrole. Le taux de croissance du PIB est estimé à 1,2 % en 2015 et la prévision pour 2016 reste stable à 1,5 %. Les créations d’emplois – contrats aidés pour l’essentiel – restent cependant trop faibles pour faire réellement baisser le chômage.

Allemagne
Les prévisions de croissance sont de 1,5 % en 2015 et 1,6 % en 2016. Le ralentissement chinois pénalise l’économie allemande exportatrice, mais les États-Unis prennent en partie le relais dans l’importation de produits allemands. Par ailleurs, la légère reprise de la zone euro devrait atténuer l’effet de la baisse des importations chinoises.

Grande-Bretagne
La croissance du PIB anglais sera de 2,5 % en 2015 mais réduite à 2,2 % en 2016. La reprise du marché du travail a généré une hausse des salaires de 3,1 % dans l’ensemble de l’économie et de 3,6 % dans le secteur privé. La croissance est tirée par les salaires et les investissements, tandis que la dette publique stagne.

Espagne
Avec une croissance du PIB en 2015 de 3,1 % et une prévision 2016 de 2,5 %, l’Espagne semble reprendre des couleurs. Le pays bénéficie de la politique de la BCE pour relancer son économie avec des taux directeurs relativement bas, qui se cumulent à la faiblesse de l’euro et la baisse du coût de l’énergie.

Italie
Le taux de croissance en 2015 sera de 0,8 % et en 2016 de 1,3 %, l’économie italienne fait moins bien que la France mais bénéficie, comme l’Espagne, de la politique de la BCE pour relancer la croissance avec des taux directeurs relativement bas.

États-Unis
La croissance du PIB des États-Unis sera de 2,6 % en 2015 et elle est estimée à 2,8 % en 2016. Le pays, dont le taux de chômage ne cesse de baisser, devrait donc en bonne logique relever ses taux d’intérêts. Les États-Unis et la Grande-Bretagne sont les 2 pays qui s’en sortent le mieux dans une croissance mondiale qui ralentit chaque année depuis 5 ans.

Japon
Tristes chiffres pour le Japon qui, malgré ses Abenomics très médiatisés, sombre dans l’atonie économique : + 0,6 % en 2015 et 1 % en prévision 2016. Le gouvernement va relancer la consommation par l’augmentation des salaires (le salaire minimum est de 6 €) et des petites retraites, une mesure très délicate qui risque de pénaliser les entreprises exportatrices qui doivent déjà affronter un euro faible.

Chine
L’économie chinoise, moteur de l’excédent commercial du monde développé et large contributeur au développement du monde émergent, continue à montrer des signes d’essoufflement. Les importations ont reculé de 18,8 % sur un an en octobre. Il s’agit du 12e mois consécutif de baisse, après une dégringolade de 20,4 % en septembre, selon le Figaro. La croissance indienne se porte mieux (+ 7,3 % en 2015).

Sources : Le Figaro, Les Echos, Le Monde, Le Point, Challenges, La Tribune, AFP, les Echos, INSEE, COE-Rexecode, Etudes Economiques du Crédit Agricole.

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Allemagne
L’Allemagne s’offre le luxe de revoir sa croissance en hausse pour 2013 : 0,5 % au lieu de 0,4 %. L’inflation et le chômage devraient baisser, le pouvoir d’achat augmenter. Selon le gouvernement, les perspectives sont bonnes pour 2014 : la croissance devrait s’établir à 1,6 %, le nombre de chômeurs reviendrait de 2,9 millions à 2,7 millions, et les revenus augmenteraient de 2,8 %.

France
La France est bel et bien entrée en récession au premier trimestre 2013. Selon l’Insee, le PIB s’est contracté de 0,2 % pour le deuxième trimestre consécutif. Le pouvoir d’achat des ménages a rebondi de 1 %, après une fin d’année catastrophique due à de fortes hausses d’impôts (+4,1 %), à la fin de la défiscalisation des heures supplémentaires et à la contribution exceptionnelle sur la fortune principalement. Sur l’ensemble de l’année, le PIB devrait baisser de 0,1 %, selon l’Insee, une prévision en ligne avec celles de la Commission européenne et du FMI.

Espagne
Plongée dans une profonde récession, l’Espagne, quatrième économie de la zone euro, dépasse les 6 millions de chômeurs pour la première fois dans son histoire (+800.000 en un an !). Chez les jeunes de moins de 25 ans, le taux de chômage atteint même la proportion sidérante de 57,2 %. Pour la première fois depuis des décennies, la population espagnole est en baisse. Les émigrés repartent et les Espagnols tentent de s’expatrier au Brésil et au Mexique.

Grande-Bretagne
Deux agences de notation ont abaissé la note de la Grande- Bretagne dernièrement, mais Moody’s insiste toutefois sur la solidité de l’économie britannique, « hautement compétitive » et « bien diversifiée ». « La solvabilité de la Grande-Bretagne reste extrêmement élevée », a insisté l’agence. En rythme annuel, la croissance ressort à 0,6 %, sa meilleure performance depuis la fin 2011. La croissance du premier trimestre a été tirée par les services et par un rebond de la production de gaz et de pétrole en mer du Nord.

Etats-Unis

D’après l’OCDE, le PIB de la zone euro chutera de 0,6 % en 2013, alors que la croissance américaine sera de 1,9 % cette année et de 2,8 % en 2014. L’écart se creuse entre la zone euro et les États-Unis, d’après l’OCDE, car le nettoyage du secteur financier a eu lieu aux États-Unis, pas en Europe, et la rigueur budgétaire est plus forte en Europe qu’aux États-Unis.

Chine
Avec un taux de croissance entre 7 et 8 %, la Chine arrive tout juste à maintenir son niveau de croissance, peine à offrir du travail aux jeunes diplômés qui arrivent sur le marché de l’emploi et à créer les 15 à 20 millions d’emplois nécessaires à absorber une main-d’oeuvre en déshérence. La demande occidentale ralentissant, le pays a compensé le manque à gagner en lançant de grands chantiers (immobilier, industrie, infrastructures) pour maintenir l’activité, mais se trouve très endetté. Une spirale dangereuse qui peut expliquer les tensions avec l’Europe sur les capteurs solaires, les aciers, les vins,… la Chine étant prête à tout faire pour éviter l’explosion sociale. Car malgré ses milliardaires et son appétit pour les produits de luxe, la Chine reste un pays très pauvre.

Japon
Le FMI salue la nouvelle politique économique du gouvernement japonais, l’« Abenomics », qui fait remonter la production et la consommation. Mais il pointe des « risques considérables » si rien n’est fait, en parallèle, pour réduire la dette publique. Il pousse le pays à ne pas relâcher les réformes et pointe le danger qu’il y aurait à «ne pas prendre de mesures budgétaires concrètes pour réduire la dette publique», et à reporter la hausse des taxes sur la consommation de 5 % à 10 % annoncée en deux étapes,0 ont eu un gros effet récessif.

Italie
Le journal Le Monde titrait durement en avril dernier « Crise européenne : l’économie italienne est dans le coma ». Le chômage reste élevé (11,6 % – 37,8 % chez les jeunes) et le PIB va régresser de 1,3 %, selon les prévisions de l’OFCE. L’agence Fitch a d’ailleurs abaissé début mars la note du pays à BBB +, assorti d’une perspective négative. A cela s’ajoutent des problèmes structurels, notamment dans le secteur industriel. A part quelques petites niches très compétitives sur le plan international, le pays a perdu en compétitivité. De plus, les politiques d’assainissement des finances publiques depuis 2010 ont eu un gros effet récessif.

Brésil
« Nous ne sommes pas le pays du foot, nous avons surtout besoin de logements et d’hôpitaux », scandaient les manifestants brésiliens,pour qui les prix des denrées de base, et surtout des loyers, atteignent des sommets. Malgré une réelle amélioration du niveau de vie – 40 millions de Brésiliens ont rejoint la classe moyenne – l’inflation galopante (6,45 % à mi-mai 2013) a largement entamé les revenus des foyers. Les 11 milliards dépensés pour la coupe du monde ne passent pas dans un pays qui manque cruellement d’infrastructures de base.