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21 - nov / déc 2013

produit donné. Et quand ils passent à l’achat, en se rendant dans une bijouterie, imaginez la déception du client potentiel si le bijoutier, qui représente la marque, n’apporte aucune valeur ajoutée par sa vraie connaissance du produit. C’est pour-quoi, le détaillant doit « redevenir » un bijoutier traditionnel, connaissant parfaitement le produit qu’il repré-sente et ainsi conforter le client dans ses choix.

L’Officiel Horlogerie & Bijouterie : Comme toujours Justine, on aime connaître l’idée qui a présidé la réalisation. J

ustine Furgoni : Ce sont d’abord les comportements des clients qui ne vont pas sur Internet seulement pour trouver le prix le plus bas. Beaucoup d’entre eux recherchent aussi une information la plus complète possible sur un

fera venir dans la bijouterie. Sur place, les collections sont mises en valeur par d’élégants présentoirs, des chevalets et la PLV, fournis par la marque. De plus, si le client a besoin d’information, des brochures per-sonnalisées et catalogues sont mis à disposition sur demande.

Un écrin au nom de la collec-tion choisie enveloppera le bijou convoité par le client.

L’OHB : Pouvez-vous nous donner les grandes lignes de cette communi-cation ?

J. Furgoni : Avec l’exclusivité locale de la marque Collections by Flanders France, nous offrons aux bijoutiers la possibilité d’être connus en tant que distributeurs officiels du diamant. La création d’un site internet vitrine ou d’un catalogue informera les clients sur la marque distribuée et les

parfois totalement ses 15 à 20000€ d’investissement, dans la semaine qui suit l’événement d’inauguration. Par ailleurs, Flanders France voit son CA augmenter régulièrement sur un nombre fixe de clients. Le partenariat est donc bénéfique à chacun d’eux. C’est une stratégie gagnant-gagnant. ■ M.T.

Contact : Justine Furgoni international@flandersfrance.com

Enfin Flanders France accompagne ses partenaires dans divers évène-ments : soirée-concert, exposition sur le point de vente et lors de manifes-tations tels que salons et semaines du mariage.

L’OHB : Et concrètement, comment se mesure la réussite de cet accom-pagnement à la communication ? J. Furgoni : Le bijoutier rentabilise